Port de Brest

Aux côtés de la Région Bretagne, et avec Egis Conseil, nous accompagnons la concertation du projet de développement du port de Brest : création d’un nouveau polder qui permettra le développement des activités existantes et la création de nouvelles activités, notamment dans le secteur des énergies marines renouvelables. liées aux énergies en mer.

Après une 1ère réunion publique d’information qui a attiré 200 à 250 personnes le 26 juin
A vos agendas ! 2 dates à très court terme :

  • 10 juillet : atelier interface ville/port aux Balises du Port, à 17h30
  • 12 juillet : atelier impacts socio-économiques à la CCI de Brest 18h30

Pour plus d’informations, la région a créé un site dédié

Croissance verte, ça pousse !

Développement durable, économies d’énergie, valorisation des déchets, bois énergie, agriculture, énergies renouvelables …
Portances Conseils accompagne entreprises et territoires dans le déploiement de ce type de projets innovants et qui, souvent, nécessitent une information et une communication adaptées pour être socialement acceptables.

Ils nous ont déjà fait confiance :

Un carton dans les collectivités locales !

Avec notre collègue Jean Marie Pasdelou de Transmeta, nous avons formé près de 500 cadres du Grand Ouest à l’entretien annuel d’évaluation  comme outil d’un dialogue privilégié.
Notre approche ? « Le pouvoir qui impose s’éclipse au profit de l’autorité qui accompagne. Nous légitimons nos dirigeants seulement s’ils nous font grandir, nous aident à croître. » (Propos empruntés au sociologue Michel Maffesoli)

Finistère durable ?

C’est la semaine du développement durable !

Depuis notre port d’attache de Brest, voici un aperçu de quelques enjeux pour le finistère glanés au grès de nos échanges au salon du développement durable qui s’est tenu la semaine dernière à Penfeld  :

l’agriculture et la pêche : des secteurs d’activités qui sont aux tous premiers rangs français, d’où le besoin d’y apporter la vigilance nécessaire

– le foncier : les problèmes rencontrés pour l’accès à la propriété dans les villes et à leur périphérie, obligeant à rejoindre les deuxièmes et troisièmes couronnes. Le constat d’un littoral qui devient toujours moins accessible, avec des problèmes induits pour certains emplois saisonniers liés au tourisme qui ne trouent pas à se loger au vu des tarifs estivaux. L’ensemble gréve l’agriculture d’espaces productifs, et induit des temps de transports plus longs qui s’accompagnent d’impacts environnementaux plus forts

la démographie : à l’horizon 2030 il y aurait 70 000 habitants de plus de 80 ans sur le territoire, pour 13 000 places disponibles aujourd’hui pour l’accueil des personnes âgées. Et en parallèle le besoin aussi de soutenir les jeunes dans leurs démarches pour revenir et s’installer localement.

les énergies : le constat de la forte dépendance du Finistère, avec de réelles menaces de blackout, allant jusqu’à freiner l’installation de certaines industries qui nécessiteraient une alimentation plus sécurisée. Et donc le levier éventuel des énergies en mer, avec le potentiel physique, technique et scientifique qui existerait sur le département.

Y a-t-il d’autres thèmes qui vous paraisssent nécessaires pour garantir une vision d’avenir au territoire et que pensez-vous faire pour y contribuer ? Yannick Pacault

Pour sauver la planète, sauvons les paysans !

Tel était le titre d’un article publié au journal « Le Monde » le 9 février. Il communiquait le point de vue de Sylvie Brunel, géographe, ancienne présidente d’Action contre la faim, professeur des universités à Paris Sorbonne.

Après une analyse sans concession du grand écart que la société demande au monde agricole, en l’accusant de pollution, de productivisme et en oubliant qu’elle lui a demandé auparavant d’assurer son alimentation en quantité suffisante, elle évoque des pistes d’avenir qui pourraient constituer le socle d’un pacte renouvelé avec la société civile.

Nous proposons de vous les synthétiser en 5 axes :

1) Continuer à produire efficacement des aliments diversifiés de qualité

2) Garantir l’entretien de la nature et la qualité des paysages français façonnés par des siècles de tradition agraire

3) Tirer profit des ressources renouvelables qu’elle produit pour les substituer aux énergies fossiles en confortant et diversifiant encore les débouchés possibles (autour des carburants, de la méthanisation, du bois énergie, des emballages, des colles…)

4) Aider l’agriculture à maximiser son rôle dans la régulation du climat (l’impact des champs cultvés et des prairies dans la captation du carbone)

5) Identifier sur chaque territoire les conditions qui permettraient de répondre à la demande tout en préservant l’avenir. C’est à dire conduire le débat local pour repérer les besoins qui permettraient de concilier performances et respect de l’environnement

Cette analyse met en évidence un rôle pivot de l’agriculture dans la réussite des projets de développement durable actionnés par les collectivités.

Y retrouvez-vous de votre côté les éléments qui vous tiennent à coeur dans votre relation à la campagne ? Yannick Pacault

Un plan tourmenté

Entre ceux qui mettent en avant l’importance des solutions techniques trouvées et la nécessaire progressivité à accorder à la démarche, et ceux qui aimeraient renforcer le cadre réglementaire d’application des mesures, le plan « algues vertes » ne fait pas l’unanimité dans l’actualité de la presse.

Pour vous permettre d’affiner votre opinion, vous pouvez télécharger le document en question ci-dessous.

pj-106_plan-de-lutte-contre-les-algues-vertes_050220103

Sentez-vous libres de nous laisser votre avis ! Yannick Pacault